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Montgolfiére

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    Description


    Depuis 1990, d’étranges objets volants parfaitement identifiés sont visibles dans le ciel marocain, d’énormes bulles multicolores que l’on peut admirer au nord de la Palmeraie de Marrakech, ou un peu partout dans le Grand Sud.

    Ces bulles, ce sont les Montgolfières de la société CIEL D’AFRIQUE qui s’est donné pour mission de faire découvrir aux touristes les splendeurs des paysages marocains depuis ce lieu d’observation privilégié qu’est la nacelle d’un ballon.

    Depuis 1990, presque chaque matin, se déroule un étrange scénario : Peu après le lever du soleil (un vol en Montgolfière, ça se mérite !) Un 4x4 vient chercher les futurs passagers à la porte de leur hôtel. Le confort de ce véhicule  prépare les clients à vivre un moment unique.

    Pour ces candidats au baptême, le vol a commencé la veille, avec l’alternance de rêves et d’angoisses qui précède une expérience aussi singulière.

    Arrivés dans la zone de vol, on choisit le lieu de décollage en lâchant un petit ballon gonflé à l’hélium. En effet, une Montgolfière ne se dirige pas. Ellevalà où le vent l’emporte.

    Maintenant, il n’y a plus de place pour l’angoisse : l’action l’a remplacée. Il faut décharger le matériel. Première surprise : le plus léger que l’air, … c’est très lourd !

    On équipe la nacelle de ses brûleurs et de ses bouteilles de gaz, puis on procède aux essais d’allumage. Pas de  fuites, les pressions sont bonnes. Tout va bien !

    On couche la nacelle sur le sol, et on y accroche la voile que l’on sort de son sac. 35 Mètres, c’est immense. Il faut  dire que cette Montgolfière fait partie des plus gros ballons du monde !

    Le panneau parachute est fermé, les vérifications sont faites, le gonflage peut commencer. Un puissant ventilateur fait pénétrer des torrents d’air froid dans la poche de la Montgolfière qui s’anime de vagues multicolores.

    Lorsque l’enveloppe est bien gonflée, qu’elle a pris une forme de demi-sphère, l’aéronaute allume le brûleur et réchauffe l’air qui s'y trouve prisonnier. Des aides ouvrent  bien grand la bouche du ballon pour que la flamme longue de 6 à7 mètres y pénètre sans risques pour le Nylon.

    Pendant ce temps, d’autres aides maintiennent la Montgolfière couchée en la tenant par la corde de couronne (celle qui est fixée en haut du ballon). Plus l’aéronaute chauffe, plus la Montgolfière cherche à s’élever. Il faut tirer de toutes ses forces pour pouvoir contrôler cette phase du gonflage et voir enfin le ballon se redresser  majestueusement.

    On finit les préparatifs : essais d’ouverture du panneau parachute, réglage des instruments de bord, tests radio, puis, les passagers peuvent embarquer.

    L’aéronaute continue à chauffer. Il faut atteindre une température voisine de 100° C en haut du ballon (température variable en fonction de la charge embarquée, de la température ambiante, et de l’âge … du ballon).

    On commence à sentir  des  réactions de la part de cette énorme Montgolfière, comme si, lentement, elle prenait vie.

    Enfin, l’ordre est donné par le pilote : « lâchez tout »

    Tous ensemble, les aides laissent  s’élever la Montgolfière.

    Tout le monde retient son souffle. L’instant est magique. Pour ceux qui sont restés au sol, le spectacle est fabuleux. Pour ceux qui sont à bord, l’instant est fascinant de beauté et d’intensité.

    Cette délicieuse impression de flotter dans les cieux, accrochés à une bulle d’air chaud fait vite disparaître la surprise du décollage vertical.

    La tension qui étreignait les cœurs avant le décollage disparaît. Les mains ne sont plus crispées sur le bord de la nacelle, et les premières exclamations fusent : « Comme c’est beau, comme c’est doux, on ne s’est même pas rendu compte qu’on a décollé… »

     Pendant le vol, on pose des questions, on s’extasie sur la beauté du Maroc vu d’en haut, et sur cette magnifique impression d’avoir laissé tous ses problèmes en bas. Vu d’ici, tout devient plus beau, et on a envie de remettre toute chose à sa véritable place (son banquier, son percepteur, son patron …)

    Lors de son premier vol en ballon le 1er décembre 1783, le physicien CHARLES a résumé ce sentiment par cette formule : CE N’EST PAS DU PLAISIR, C’EST DU BONHEUR !

    Mais il faut penser à redescendre. L’aéronaute choisit un terrain plat et commence son approche après avoir expliqué aux  passagers ce qu’il convient de faire au moment de la prise de contact avec la planète.

    S’il n’y a pas de vent, l’atterrissage est d’une  incroyable douceur (kiss landing). S’il y a du vent, on se fait traîner sur quelques mètres.

    Le vol n’est pas fini pour autant. Il faut bien sur penser à replier le matériel et à le charger sur les véhicules qui sont déjà là comme  par miracle (ou bien qui nous ont perdus et qu’il faudra retrouver … mais c’est ça aussi l’aventure du vol en Montgolfière).

    Quoi de mieux, ensuite, pour savourer le vol que l’on vient de faire, que de se retrouver autour d’un thé à la menthe ?  C’est pourquoi un circuit 4×4 emmène tout le monde dans l’un des petits villages que l'on a survolé, et là, les passagers  découvrent la merveilleuse hospitalité marocaine en gouttant une galette ou du pain trempé dans l’huile d’olive.

    Arrive enfin l’instant suprême ! A voir l’importance que certains y attachent, on dirait même qu’ils n’ont volé que pour ça : la remise d’un diplôme, le certificat  d’ascension en machine aérostatique que l’on pourra montrer aux amis en disant : « j’y étais ! »

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